Nous sommes restés sur place environ 3h puis nous avons pu rentrer chez nous, et heureusement car vu la tête du service d'urgences, j'aurais vraiment fait la tronche si on m'avait dit qu'il fallait le garder...
Il faut agrandir les photos pour qu'elles parlent d'elles-mêmes, je trouve qu'elles sont assez explicites (fils électriques qui pendouillent d'un plafond défoncé, sol noir de crasse etc...). Les consultations avaient lieu en simultané stéréo dans une même salle, les patients étant juste séparés les uns des autres par un rideau. Ambiance générale assez glauque il faut bien l'avouer.
Du coup j'ai prié pour que personne ne se casse une jambe d'ici la fin du séjour. Non, l'idée de venir se faire opérer au sanatorio ne m'emballait pas plus que ça.
2 commentaires:
Bon finalement rien de cassé ?
Stéphanie.
Non, ouuuuuffffff!
Enregistrer un commentaire